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Depuis la crise de la Covid, nous avons transformé notre façon de consommer et forcément, les habitudes et les attentes des salariés ont également évoluées. En effet, nous sommes plus attachés à la qualité de notre alimentation avec des menus plus variés, des ingrédients de qualité, de saison et de proximité, mais sans pour autant envisager de payer plus. En outre, la loi Climat et Résilience ainsi que la loi Egalim viennent renforcer à ces nouvelles tendances.


Des nouvelles restrictions réglementaires en vigueur

 

En effet, la loi « Climat et Résilience » s’articule autour de cinq thématiques sur lesquelles la Convention citoyenne pour le climat (CCC) a débattu et présenté ses propositions en juin 2020 : consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger et se nourrir. Elle renforce notamment les sanctions en cas d’atteintes à l’environnement, en relation avec l’alimentation, telles que l’interdiction d’utiliser du plastique, l’introduction de produits issus de l’agriculture biologique, la lutte contre le gaspillage alimentaire…

Une étude comparative des principales nouvelles tendances

 

Face à ces nouvelles mesures, l’équipe Agriate Conseil, filiale du groupe EPSA, a mené une étude portant sur les grandes tendances en matière de restauration collective auprès de collaborateurs issus de tous types de structures (publiques/privées), de tous âges et catégories socio-professionnelles confondus.

Ces résultats confirment que des nouvelles attentes ont émergé : attention portée à la qualité, retour aux préparations maison via le recours aux lunch box, temps plus long accordé au repas.

Les salariés sont en attente de solutions alliant qualité et souplesse ; à titre d’illustration 72% des répondants sont en demande de titres restaurant et 30% de partenariats avec des commerces de proximité.

Les budgets consacrés au repas de la pause méridienne restent stables (entre 8 et 12€)

La digitalisation change les modes de consommation

 

Une des nouvelles tendances de la restauration collective fait également écho à la digitalisation qui s’est fortement accélérée avec la généralisation d’applications permettant le paiement, la commande, la lecture des menus ou encore le développement de partenariats avec des spécialistes de la livraison afin de proposer un choix plus large et un service efficace.

De fait, les salariés ont désormais plus de choix et sont plus libres d’adopter le repas qu’ils souhaitent pour leur déjeuner, sur le créneau horaire et le lieu d’un choix leur correspondant davantage.

 

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