Aller au contenu

La crise sanitaire a bousculé toutes nos pratiques, obligeant la plupart d’entre nous à faire du télétravail pendant une bonne partie de 2020 et de 2021. Ainsi, un secteur impacté de plein fouet est la restauration collective.

Jadis moment de partage et de convivialité au travail, la pause déjeuner était devenue une affaire solitaire, enfermé chez soi. Avec le retour au bureau et le relâchement de mesures contre la COVID, il est important de se demander : quel impact le confinement a-t-il eu sur nos pratiques alimentaires au bureau ?


Chez EPSA, nous développons tous les ans notre étude de « tendances dans la restauration collective », et l’année 2021 ne fut pas une exception. Néanmoins, cette étude est particulièrement intéressante grâce aux changements avant mentionnés, qui pourraient devenir structurants pour l’avenir du métier.

Un changement dans les pratiques

Bien que le temps consacré au repas n’ait pas changé, nous constatons dans notre étude que plus de salariés apportent leur nourriture qu’avant la COVID, qu’un tiers ne mange pas dans l’espace dédié au repas et que plus d’un salarié sur 10 rentre chez lui pour le déjeuner.

 

Les indemnités et le budget repas

Dans notre étude, vous trouverez aussi les chiffres relatifs à la quantité de salariés bénéficiant des tickets restaurant ou des indemnités repas, aussi bien que l’évolution dans le prix moyen du repas, qui était de 8,60 € en 2018.

Le télétravail plébiscité ?

Vous y découvrirez aussi l’appétence des salariés pour le télétravail, la chute dans les chiffres de « satisfaction de la pause déjeuner », aussi bien que les attentes autour des indemnisations, titres restaurant et partenariats avec les commerces de proximité.

Notre étude conclut avec une vision globale des nouvelles alternatives pour se restaurer au travail, comme les frigos connectés, les « dark kitchen » ou les solutions « fast good ». Nous espérons que notre étude de tendances aidera les entreprises à mettre en place la meilleure solution en restauration collective possible, en prenant en compte des attentes des salariés et du budget alloué selon la société.